Lumière réparatrice(L’élément du feu)
- benamsyehi
- 11 sept. 2023
- 2 min de lecture
31 Janvier 2022

Dans de nombreux endroits dans la Tradition d'Israël nous pouvons rencontrer une approche surprenante sur la flamme d'une bougie.
Pour Pessah nous cherchons le Hamets à la lumière d'une bougie, pour Hanoukka nous observons les flammes danser sans rien faire d'autre, puis les bougies de Yom Tov et shabbat et la Avdala bien sûr.
Il est connu que les maîtres d'Israël avaient pour habitude d'étudier à la lumière d'une bougie.
Il existe à travers la lumière d'une bougie une constante qui n'est pas statique, la flamme danse en permanence, attirée vers le haut elle veut s'élever vers sa source.
Puis il y a la lumière qui a une constante statique, elle brille et son mouvement est encadré, c'est un mouvement artificiel et programmer, ou de façon naturel ou par l'homme, elle n'a pas la qualité de vouloir s'élever d'elle-même.
La lumière qui danse fatigue les yeux et provoque le sommeil, la lumière statique tien éveillé, seulement même quand l'homme dort son empreinte circule encore dans son cerveau et son repos n'est pas réparateur.
Alors que la lumière qui danse celle d'une flamme de bougies, allumé dans la kedousha, après avoir fini sa danse retourne vers sa source car telle est sa nature.
Emportant avec elle les résidus de la lumière statique dans le cerveau de l'homme, qui n'ont pas pour nature de vouloir s'élevé et permettre ainsi un repos réparateur.
Au moment du sommeil le cerveau change de fréquence, c'est précisément à ce moment que les rayons de la flamme qui danse celle d'une bougie allumée dans la kedousha bien sûr, sont le plus réparateur.
Elle peut ainsi, cette flamme qui danse traverser les paupières, puis s'infiltrer dans les chemins déjà tout tracé du cerveau, pour finir sa danse et emporter avec elle tous les résidus de lumière statique que l'homme cumule tout au long de sa journée.
Lui procurant ainsi un sommeil réparateur.
Bonne journée à tous et toutes
Yehia Benhamou
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